Je m’appelle Daniel, 42 ans, je vis seul dans la banlieue de Grenoble. J’ai une vie sexuelle disparate avec des plans cul occasionnels comme tout bon célibataire. Mais ça, c’était jusqu’à ce que je sois sous la coupe d’une femme qui s’est avérée être sévère, vicieuse et cradingue ! Je vous raconte ça.

Un jour, je reçois un mot dans ma boite aux lettres à l’appart me disant à peu près ceci : « Je sais ce que tu fais de ton temps libre et j’ai des preuves. Si tu ne veux pas que je balance ta life sur les réseaux sociaux et les mails de ton entreprise, tu devras faire tout ce que je te dis. »

J’ai pensé à une mauvaise blague et je n’ai pas prêté plus attention à ça. Sauf que le lendemain, j’ai reçu une photo de mon profil de recherche sur des sites un peu… hardcore undergroud. Et là j’ai compris que c’était la fin des haricots. Je savais que si ma vie privée sortait au grand jour, je serais foutu. J’ai composé le numéro de téléphone se trouvant au dos de la photo et j’attendu 2 sonneries :

• Oui ?

• Je suis Daniel et….

• Ah le gay refoulé ! Comment vas-tu ma salope ? me répond une femme à la voir autoritaire et sure d’elle.

• Euh… Je pense que….

• Ne pense pas sale truie ! t’es pas équipé pour ! Tu as vu que j’ai du lourd sur toi. Si tu ne veux pas que balance tout, tu me reçois chez toi ce soir à 21 h totalement nu.

• Mais je…

Elle raccroche.

J’ai le cœur qui bat j’en peux plus. La journée se déroule et le soir approche. J’ai espoir encore que tout ceci sera une mauvaise blague. 21 h on sonne. Je regarde par l’œillet, mais elle a mis son doigt dessus. J’entrouvre et je suis nu. Une femme grande, élégante entre chez moi et s’installe comme à la maison. Elle me demande de la rejoindre dans le salon et de lui faire un café. Je m’exécute.

J’allais m’asseoir et elle se relève.

• Tu ne t’assois pas sauf si je te l’ordonne sac à m e r d e . Tu restes debout et tu la fermes.

Je commence à bander et elle le voit.

• Ah, Ben, ça t’excite mon salop ! Tant mieux ! Allonge-toi sur le sol sur le dos. Je m’exécute.

Elle se déshabille à moitié pendant ce temps et ma queue et énorme et me fait mal. Elle passe ses doigts et ses pieds sur mon corps. Me frotte la biet et les couilles avec et se penche pour m’attr a p e r par la mâchoire.

• Je vais m’asseoir sur toi et tu vas me lécher on va voir ce que ut vaut. Dépêche-toi salope !

Elle écrase sa croupe sur mon visage et se frotte sur moi pour que je la lèche. Je tends les mains pour attr a p e r ses fesses, mais elle me tape fort sur la bite. J’ai mal ! j’étouffe. Elle pue des trous c’est une infection ! J’ai la gerbe qui me monte.

• Je ne me suis pas essuyée de la journée pour toi sac à m e r d e . Nettoie-moi les orifices et fais-le bien.

Je passe ma langue bien malgré moi sur ses trous qui jutent et c’est excitant tout en étant dégoûtant. Elle gémit et je bande très fort. Elle me dit qu’elle a envie. Ah du sexe ! Non. Cette femme relâche sa vessie d’un coup comme le ferait une vache et non une femme. Son urètre a le débit d’une lance à incendie et elle décharge tout dans ma bouche et sur mon visage.

Elle se frotte pour d’essuyer sur moi et me demande de lécher. Elle se relève en faisant tomber les dernières gouttes et admire ma tête rouge, gluante de pisse qui trempe dans son urine.

• Tu vas te mettre à plat ventre dans ma pisse, maintenant exécution !!!!!!! j’ai un cadeau pour toi comme c’est ta première fois.

J’essaye de rebeller et je me prends une décharge électrique. Elle a une matraque taser, je douille ma race !

• Allonge-toi pédale ! Je vais m’occuper de toi !

Je m’exécute de nouveau. Je trempe dans sa pisse devenue froide. Elle m’écarte les fesses et me masse la rondelle. Elle m’enfonce un gode dans le cul sans ménagement et je hurle de douleur ! Clic ! Elle a pris une photo la salope ! Elle s’avance vers mon visage et me plaque la joue dans la flaque de sa pisse odorante. Elle est à deux centimètres de mon visage. Elle me dit :

• Je vais m’en aller. Mais je vais revenir et tu seras à ma merci ou je publie cette photo sur le net dès ce soir ! Tu fais tout ce que je te dis sinon…

Elle me crache au visage. J’ai son crachat qui me coule de l’œil et vient rejoindre son urine en passant par ma bouche. J’ai toujours le gode dans le cul.

• Tu peux le garder c’est cadeau. Apprends à t’en servir parce que je pourrai t’enculer à tout moment.

Elle se positionne au-dessus de ma tête. Me plaque son pied sur la joue et me f o r c e à presque me noyer dans sa pisse. Je vais exploser de rage, de haine et d’excitation.

Elle se rhabille et s’en va. La porte claque. Je suis dans mon lit. Je me réveille en sueur avec une trique à me rendre la bite bleue de douleur. C’était si réel……..

Je pars au bureau et je trouve une lettre comme celle de mon rêve dans ma boîte aux lettres.

« Je sais ce que tu fais des soirées. Tout le monde le saura sauf si…. »